« Comme le dit mon ami Pierre Rabhi, je fais ma part … du colibri.
Le bois flotté c’est le temps qui passe, un vecteur de mémoire, naturellement renouvelable.
Sans cesse à la recherche de la forme qui me touche, me parle.
Je capte l’invisible et le recrée pour le partager.
Le mettre en mouvement dans l’instant de vérité, de vraisemblance.
Evocation de l’oiseau, symbole de liberté, comme une échappée,
de notre conscience survolant nos limites. »